Billetterie

Historique du projet

Les carnets de NIGAMON/TUNAI

Lire le carnet suivant

NIGAMON/TUNAI est un projet sur le temps long. Émilie Monnet et Waira Nina se sont rencontrées en 2004, leur collaboration artistique a débuté en 2012. NIGAMON/TUNAI est né d’une parole prononcée en cérémonie, d’un pacte entre Waira Nina et Émilie Monnet, pour que cette dernière revienne et emmène avec elle des personnes autochtones du Nord. Depuis, elles se sont vues très régulièrement, autant en Colombie qu’au Canada. Voici un retour sur quelques-unes des étapes de cette collaboration.

 

 

2012 : Émilie Monnet a bénéficié du studio-résidence du CALQ à Bogota en Colombie. Durant ce voyage, Waira Nina et elle décident de créer un projet ensemble.

 

 

2013 : premier voyage de Waira Nina à Montréal, initiation à la création artistique pour elle, développement d’une méthode de travail basée sur les couleurs.

 

 

2014 à Montréal et 2016 au Chili : Émilie Monnet et Waira Nina participent aux Encuentros Hemisfericos.

 

 

2014 : résidence de recherche à Oboro et atelier donné en collaboration avec les artistes Leonel Vasquez, Stéphane Claude, Sarah Williams, Lucie Bazzo et Glenna Matoush. Naît alors l’idée du parcours performatif, une traversée dans plusieurs lieux correspondant aux couleurs abordées. Aperçu de la performance (juillet 2014) et mini-documentaire en coulisses de la création.

 

 

2017 : en tant que membres du Canadian Consortium for Performance and Politics in the Americas, les créatrices ont pu séjourner à Poundmaker (Saskatchewan) en 2017 dans le cadre d’un événement réunissant des leaders spirituels autochtones d’ici et de la Colombie.

 

 

2017 : avec trois autres femmes artistes autochtones (Patti Shaughnessy, Mélanie O’Bomsawin et Glenna Matoush), Émilie est allée à Yurayako en Colombie pour travailler avec Waira à la réalisation des illustrations de son livre La vida es una pinta, en collaboration avec la communauté. La documentation de ce processus de création sera incluse dans NIGAMON/TUNAI. Documentaire réalisé par Mélanie O’bomsawin.

 

 

Lire le carnet suivant