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L’ART DE VIVRE : Extraits de critiques

L'ART DE VIVRE

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« Ce récit présente quatre jeunes professionnels, des voisins de condos, qui finissent par disjoncter. C’est par de la vidéo qu’on apprend à les connaître, un début drôle et dynamique avec des monologues succulents. »

Emmanuel Martinez, Le Journal de Montréal

 

 

 

« Tout ça pour parler de cette quête de bonheur altérée par tant de choses : le désir de consommation, l’image qu’on projette, le vide de nos relations. On va donc sortir de là avec un sentiment peut-être d’avoir encore une petite patte en l’air, de ne pas savoir où on va le trouver le bonheur, mais d’avoir quand même passé un très beau moment parce que c’est un croisement dans le texte entre, je dirais, Like-moi et Jean-Philippe Baril Guérard. Il y a quelque chose de ces deux univers-là. »

Katerine Verebely, Dessine-moi un matin, ICI Première

 

 

 

« Ce texte, qui a valu à son autrice le prix Gratien-Gélinas de la Fondation du Centre des auteurs dramatiques en 2019, laisse entrevoir de belles choses pour la suite, notamment en ce qui concerne la justesse des dialogues. »

Stéphanie Morin, La Presse

 

 

 

« Il est aisé de se reconnaître dans l’une ou l’autre des personnalités en présence. Ce miroir grossissant braqué sur nos petits travers et grandes obsessions fait parfois grincer des dents. Mais on s’esclaffe souvent, particulièrement dans la première moitié du spectacle, présentée en vidéo, un clin d’œil assumé aux publications des influenceurs, influenceuses et expert·es autoproclamé·es présent·es sur le web. Des éclats de rire provoqués notamment par les conseils prodigués par Bianca et Ingrid, incarnées par les talentueuses Raphaëlle Lalande et Larissa Corriveau. »

Karine Tessier, Jeu, revue de théâtre

 

 

 

« Récompensé du prix Gratien-Gélinas en 2019, le texte de Liliane Gougeon Moisan nous propose un reflet de la société québécoise avec des répliques savoureuses et caustiques qui font rire les spectateurs dans la salle. Sûrement parce que ces inepties dont on est témoin nous rejoignent. »

Micheline Rouette, BP Arts Média

 

 

 

« Le jeu impeccable de l’actrice [Larissa Corriveau] met en valeur la complexité de cette nageuse habillée en rose de la tête aux pieds et tout aussi attendrissante qu’effrayante. Elle est d’abord le véhicule d’un discours publicitaire sur les bienfaits de l’exercice physique, qu’elle ponctue de petits sauts sur son ballon d’exercice – rose également –, avant de se transformer en chasseuse féroce prête à tuer son nouveau-né (venu au monde de manière impromptue suite à un déni de grossesse). Grâce à de subtiles inflexions, ainsi qu’à des mimiques évocatrices, le fin mélange des slogans machinalement répétés et du dégoût profond d’Ingrid pour la société qui l’a forgée apparaît clairement, tout en nous faisant rire aux éclats. »

Aglaé Boivin, Spirale