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Oh les beaux jours : extraits de critiques

Oh les beaux jours

Retour à la pièce

« Andrée Lachapelle, lumineuse et glorieuse dans le rôle de Winnie. Andrée Lachapelle est dans un monticule de sable bleu vif qui fait comme une immense robe d’une reine. La reine de la résilience. Merci à Roger La Rue d’être si dévoué à la cause et si discret. D’une audace complètement folle. C’est tellement bien tenu par Andrée Lachapelle que ça en vaut le détour. Si Samuel Beckett vous interpelle, courez-y ! Une immense réflexion sur notre façon de voir la vie. »
Catherine Perrin, C’est bien meilleur le matin, Radio-Canada
 
 
 

« Le théâtre demande parfois de se déprogrammer et de faire un effort. Parfois, pas toujours, ça vaut vraiment la peine. Pour vous en convaincre, allez faire un tour à l’Espace Go, cette semaine, et délectez-vous de la beauté d’Andrée Lachapelle dirigée par André Brassard, dans Oh les beaux jours. »
Sylvie St-Jacques, chronique théâtre, La Presse

 
 
 
« Oh quelle femme! Sur la scène de l’Espace Go, apparaît ou plutôt règne une triomphale Andrée Lachapelle en Winnie. André Brassard, grandement inspiré par sa muse, mise sur le contraste entre la joie et la beauté immortelles de la dame et la tragédie du destin humain. Andrée Lachapelle a la grâce mélancolique, la légèreté magnifiée par l’immortalité forcée. Essentielle présence de Roger La rue, en Willie. Un rôle ingrat qu’il livre avec humilité et justesse.
 
À mon humble avis, cette production d’Oh les beaux jours marque d’une pierre blanche la trajectoire de Brassard et de Lachapelle. De cette rencontre artistique et personnelle est née une pièce forte, significative, totalement singulière. Le genre d’œuvre qui nous aide à vivre. On sort de là grandi, troublé, humanisé. »
Sylvie St-Jacques, La Presse
 
 
 

« Inscrivez ce rendez-vous théâtral à l’agenda. Aucune chance que vous ne résistiez à l’interprétation impeccable et envoûtante d’une Andrée Lachapelle qui fait honneur à un des plus forts personnages féminins du théâtre des années 1960. La Winnie de Beckett désarçonne carrément, illuminée et spectaculaire.
 
Cette pièce hypnotise, d’abord par son rythme répétitif maintenu, puis par le bleu de la butte qui la submerge et qui capte les regards. Sa voix, celle d’Andrée Lachapelle, douce et claire, contribue à cette ivresse mentale qui s’insinue en nous, nous entraînant vers des réflexions existentielles.
 
Le meilleur vient de ce retour en lion du metteur en scène André Brassard qui œuvre avec vérité. Il n’a rien perdu de sa sensibilité. Il avait avec lui Andrée Lachapelle. Elle subjugue. Si bien qu’on porte en nous cette interprétation longtemps après la fin. Faudra la revoir encore. »
Claudia Larochelle, Journal de Montréal

 
 
 

« Une belle soirée de théâtre! »
Mélanye Boissonneault, Désautels, Radio-Canada

 
 
 

« Une œuvre de lumière
Présence forte d’Andrée Lachapelle. Le jeu de la protagoniste dégage une chaleur qui émeut et, parfois, déride. Le metteur en scène et la grande actrice ont su extraire toute l’humanité de la pièce de Beckett pour ce rendez-vous incontournable. Roger La Rue, discret et toujours aussi solide. »
Alexandre Cadieux, Le Devoir
 
 
 

« Winnie, superbement incarnée par Andrée Lachapelle. »
Stéphane Baillargeon, Le Devoir

 
 
 
« C’est une force de la nature, cette Winnie. Toute une performance d’Andrée Lachapelle. Vigoureuse. Avec une technique vocale qui rappelle celle de Denise Pelletier. À ne pas manquer! »
Francine Grimaldi, Samedi et rien d’autre, Radio-Canada

 
 
 
« C’est un exploit qu’elle réussit. Elle fait des nuances dans un rôle impossible. Elle porte ce texte de Beckett pendant 1h30. Une ode à la vie extraordinaire. Dans les mots, la parole et le jeu d’une actrice, lumineuse, intense. Andrée Lachapelle joue merveilleusement bien. On sent le moindre frémissement de ses lèvres. Il faut voir Oh les beaux jours. C’est un grand moment. Je pense que c’est un moment historique. »
Danielle Laurin, On fait tous du show business, Radio-Canada
 
 
 
« Le trio Beckett, Brassard, Lachapelle. La cerise sur le sundae bleu! Et Winnie. Ce personnage que le metteur en scène et l’interprète ont ciselé d’une main de maître. Winnie, l’indescriptiblement lumineuse. Brûlante de vie. Intense. Ouffffffff. »
Michel Bélair, Le Devoir
 
 
 

« Avec Oh les beaux jours, Andrée Lachapelle et André Brassard prouvent qu’ils sont encore bien vivants. On peut dire, sans exagérer, qu’il s’agit d’une rencontre au sommet. Le bonheur est d’autant plus grand que le spectacle qui en résulte est fait de rigueur, de sensibilité et de conviction. Lachapelle trône avec toute la superbe et la distinction qu’on lui connaît, use de la parole comme d’un chant, un chant d’amour. Impeccable Roger La Rue »
Christian St-Pierre, Voir
 
 
 

« Le grand style
Andrée Lachapelle incarne mélodieusement Winnie. Roger La Rue accuse une présence/absence des plus senties. Mis en scène par André Brassard, ce chef-d’œuvre beckettien s’en trouve affiné par l’œil acéré qu’il jette sur l’inéluctable. Et la voix d’Andrée Lachapelle, tantôt voilée, tantôt souveraine, exerce un effet tonique, en guise de trompe-la-mort. »
Lyne Crevier, Ici Montréal

 
 
 

« J’ai été happé par sa Winnie. Grâce à elle, j’ai découvert d’autres profondeurs au texte que trois autres productions vues (dont celle avec Madeleine Renaud) ne m’avaient pas dévoilées. Présence aérienne, juste poids des mots, impact des tonalités. L’enfance et l’âge adulte s’y côtoient, la légèreté et le désespoir s’y nouent, et la beauté comme un cadeau par là-dessus. Très grande prestation. Soirée exigeante, mais gratifiante. Le vieux style. »
André Ducharme, L’actualité