La Déposition
En reprise
11 septembre
1990
Louise Laprade et René Gagnon… une rencontre comme on en voit rarement au théâtre. L’implosion. La sensualité à fleur de mots.
Une histoire policière, une histoire vraie avec toutes les faussetés que ça suppose. Les mots mordent, déchirent, masquent, enfouissent, dévoilent. Une traversées des apparences ou l’humour crie présent quand le terrain devient sables mouvants.
Rebelle et fragile, Léna Fulvi. Une passion sourde, une fougue contenue. Belle comme la vraie vie, celle ou les blessures ne s’endorment jamais, ou la haine et l’amour n’arrivent pas à être pudiques.
LA DÉPOSITION va droit au but, droit aux émotions tapies au fond de nous. Sans savoir comment ni pourquoi, on est remué, bouleversé sans angoisse. D’une intensité lumineuse. LA DÉPOSITION : beaucoup plus qu’un grand moment de théâtre.
Qui n’a jamais tué?